2.8.12

Résistance passive face à l'oppression

La situation en France est très grave. Par exemple des moniteurs de colonies de vacances ont obtenu l'autorisation de "jeûner" alors qu'il s'occupe d'enfants. Le jeûne qui comprend le fait de ne pas boire est dangereux pour les enfants quoiqu'on dise en niant l'évidence.

Ainsi la raison a capitulé devant la superstition et la crédulité. Or la vérité de l'homme est celle d'animal raisonnable.

Dans ces conditions la résistance passive me semble envisageable.

Il y a un article assez succinct de wikipedia sur la résistance non violente.


(1)
Il me semble probable qu’en effet, une résistance violente entraînerait une riposte US du genre de celle qu’on subie les Serbes. Bombardements massifs avec destructions de maisons et d’infrastructures, milliers ou dizaines de milliers de blessés et de morts. De plus une résistance violente entraîne des morts qu'il n'est jamais bon de provoquer (haines, blessures du corps social).

C’est pourquoi, entre autres raisons, il faut préférer la résistance passive qui est ainsi décrite par wikipedia :

« Les formes de la résistance non violente sont extrêmement variées. Elles incluent par exemple la guerre de l’information (de l’édition de tracts à celle de journaux), l’art protestataire (graphique, musique, poésie), lobbying pour impliquer la communauté, la résistance fiscale, le boycotts, la lutte via la diplomatie, le sabotage matériel ne mettant pas en danger la santé d’autrui, le chemin de fer clandestin, le refus de récompense ou honneurs, le piquet de grève non violent et/ou la grève générale. » (Wikipedia)

Le « chemin de fer clandestin », organisation mise en place par les anti-esclavagistes au XIXe siècle  aurait consisté en réseaux d’exfiltrations et d’accueils des esclaves fugitifs. 

Les manifestations non-violentes et sympathiques (non susceptible d’attirer l’antipathie de la population). La lutte pour les droits de l’homme, pour la raison, pour les droits du peuple français opprimé sont aussi des formes de résistance non-violente. Car la résistance non-violente est avant tout fondée sur les droits universels de l'homme.

(1) photographie d'une statuette la Gueuse (La République) musée de la Révolution française, Vizille (Isère)

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