Attaque de loups : faut-il attendre qu'i y ait morts d'hommes ? Mais dès maintenant il y a viol de la propriété privée par l'Etat

Lu sur le Dauphiné libéré (voir la photo très "parlante") :

« Il était aux alentours de 18 heures samedi 25 août lorsque le berger, Marc Bouillon a vu quatre loups se diriger vers le troupeau. Le troupeau pâturait à une centaine de mètres d’une barre rocheuse. L’un des loups n’était pas sauvage, il s’est approché à moins de 50 mètres du berger. Malgré l’intervention du berger le troupeau s’est coupé en deux. Quatre brebis ont été retrouvées mortes et deux sont restées introuvables. »

L'attaque a eu lieu à La Cluse, dans un secteur relativement peuplé des Hautes-Alpes, non loin de Gap, le chef-lieu.

Ah ! L'art de la minimisation par les journalistes ! "Le loup n'était pas sauvage". Il faut traduire qu'il était menaçant et ne craignait pas le berger. Peut-être le berger n'était pas même armé d'un bâton.

Un jour ou l'autre il y aura un accident et les juges français continueront de condamner ceux qui exercent leur droit de légitime défense de leurs biens et peut-être de leur vie, contre une sale bestiole.

En attendant, il y a viol de la propriété privée des propriétaires de moutons et même s'il y a indemnisation, comme l'Etat, c'est nous, il y a viol de la propriété privée par les services du Trésor public.