Ces mondes sont si puissant qu'un philosophe qui faisait remarquer que la prétendue "sélection naturelle" était une pétition de principe (on prétend démontrer une vérité en la répétant sous une autre forme), a été obligé de se rétracter s'il ne voulait pas perdre ses honneurs.
Ceux qui sont intéressés par ce que j'écris sur la question peuvent taper ce lien :
http://denismerlin.blogspot.fr/search?q=s%C3%A9lection+naturelle&updated-max=2009-03-30T03:05:00-07:00&max-results=20&start=13&by-date=false
ou cliquer ici et pour le diaporama cliquer ici
Au contraire les théories très douteuses de Darwin (lesquelles ont justifié le libéralisme économique féroce, le marxisme et le national-socialisme et justifient aujourd'hui l'écologisme dément) sont contredites par l'expérience.
Ce qui est au cœur des réussites, c'est l'amitié, c'est la solidarité. Les plus faibles protègent les plus forts qui eux-mêmes doivent s'entr'aider, se faire confiance. Ce principe de solidarité est valable du haut en bas de l'humanité. Du bébé, en passant par les femmes, en arrivant aux champions et en redescendant vers les blessés, les handicapés, les vieillards affaiblis, les malades, les mourants, nous sommes tous solidaires.
Voici comment décrit une cordée celui qui faisait partie de l'équipe du Groupe militaire de haute montagne (GMHM) ayant ouvert une nouvelle voie dans le massif de l'Himalaya.
« On fait des cordées de deux et là, c’est la confiance poussée à son maximum. Il y a des longues parties d’ascension qui se font sans pause de protection puisque techniquement, c’est impossible de s’assurer. On est simplement reliés par la corde et aucun des deux ne doit tomber. Mais on se fait confiance. Tous les petits gestes de notre quotidien correspondent à ça, à de l’entraide. Dans la cordée, on mange tous dans la même gamelle, avec la même fourchette. À 7 500 mètres et au-dessus, cette entraide est encore plus poussée. L’altitude se fait sentir, on peut être faible, on ne peut plus parler, se déplacer. Il faut pouvoir compter sur l’autre, qui ne juge jamais. »
« L'autre qui ne juge jamais. » Tout le monde se sent ainsi libre et solidaire.
Celui qui juge intempestivement l'autre rompt la solidarité du groupe dans l'action, il y perd son temps et son énergie. Jésus l'a dit "Ne jugez pas." (Math 7,1). S'il perd son temps et son énergie dans le jugement intempestif, il accroît la force du groupe dans l'amitié et la solidarité.
Voir une belle image panoramique des lieux en cliquant ici, la photo du paysage ici http://www.gmhm.terre.defense.gouv.fr/IMG/jpg/tour_d_horizon_large-2.jpg
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