Dans cet article du "Parisien" on apprend que, comme l'Afghanistan (lien vers un de mes posts sur le refus d'amitié par l'Afghanistan), l'Algérie ne souhaite pas de "traité d'amitié" avec la France. Le Coran semble interdire en effet l'amitié entre musulmans et "infidèles".
Renault, Total et Lafarge sont pris en charge par le personnel politique français, pour faire avancer des "partenariats" avec l'Algérie.
Le refus d'amitié est une attitude très injurieuse.
Nota :
Au XIXème siècle, la France n'a pas établi une colonie en Algérie mais a intégré l'Algérie à la France. Elle a offert généreusement aux musulmans de devenir des Français "à part entière", sans qu'elle veuille, à l'époque, renoncer, pour ses populations juives et chrétiennes, à leur ordre public rationnel. De son côté la population musulmane algérienne avait refusé la nationalité française à part entière, car elle ne voulait pas renoncer à la chariah. Mais les musulmans algériens étaient français et jouissaient de la protection internationale de la France. J'ai posté aussi sur cette question (voir le sénatus-consulte de 1865 et "ordre public" dans le moteur de recherche de mon blog). C'est au prix de l'ordre public français que les Algériens, attachés à la chariah, sont devenus français. C'était le début de l'islamo-relativisme avec retour à un statut personnel que je juge inadmissible.
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