Les magistrats ont traduit le maire socialiste de la commune de Ceyrat, également conseiller général, devant le tribunal correctionnel pour divers épisodes de violences conjugales.
Il est accusé d'avoir frappé sa femme alors qu'il rentrait chez lui, ivre au petit matin.
La femme ne s'est ni constituée partie civile, ni n'est venue témoigner.
Les peines requises pour une affaire aussi grave, si les faits sont avérés, sont ridiculement faibles (4 mois de prison avec sursis, 1 500 € d'amende, interdiction d'entrer en relation avec la femme). Si les faits sont avérés, il faut tenir compte que la qualité d'élu oblige à une moralité supérieure et mérite dans ce cas, des sanctions plus fortes et non plus faibles.
Le jugement doit être rendu le 23 octobre.
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