20.10.12

Militantisme pro "genre" à l'ONU

Selon le site du "Catholic family and human rights institute", la haute commissaire aux droits de l'homme de l'Organisation des nations unies (ONU), madame Pillay, continue son militantisme… contre les droits universels de l'homme.

Selon elle, il faudrait reconnaître des droits spéciaux aux homosexuels. Mais les droits de l'homme sont universels. Il n'y a donc aucun droit particulier du fait d'une attitude particulière.

Les personnes homosexuelles pas plus que les autres et pas moins jouissent des droits universels de l'homme. Si on crée des droits particuliers en faveur des homosexuels, ce ne sont plus les droits universels de l'homme.

Les femmes en raison de leur faiblesse et de leur rôle social propre, particulièrement lorsqu'elles sont enceintes, ont sans doute droit à une protection particulière. Les enfants en raison de leur faiblesse et de leur statut d'être humains en développement, ont des droits particuliers, mais les actes homosexuels ne sont que des actes et non un état. Ces actes sont, de plus, sans aucune utilité sociale, voire dangereux pour la santé physique et mentale, ils ne créent donc aucun droit particulier pour ceux qui les pratiquent, lesquels sont déjà protégés par les droits universels de l'homme.

Quant à la notion de "genre", elle est négationniste. Il existe deux sexes. Le sexe est ce qui divise l'humanité en deux. Ces sexes se constatent biologiquement et médicalement. Ils sont donc naturel. Il ne faut pas les confondre avec la notion de "genre" qui est une notion de grammaire.

En voulant octroyer une protection particulière à des personnes pratiquant des actes, d'ailleurs immoraux, madame Fillay fragmente la société alors que la solidarité doit être universelle.

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