Prenant prétexte de la présence de Maurice Papon (1) à la tête de la police parisienne, François Hollande condamne la France pour une répression "sanglante" intégralement controuvée.
J'ai déjà posté sur ce sujet. Il n'y eut aucun mort. Un seul mort a été relevé, il s'agissait un Français de souche dont le crâne avait été fracassé par des Algériens devant un cinéma.
S'il y avait eu des centaines de morts par noyades, leur corps auraient été retrouvés à la morgue.
La situation est tragique. Ce gouvernement ne mérite que le mépris. Il se montre un implacable ennemi des Français. Il pose aussi la question de la formation par l'Institut d'études politiques et l'Ecole nationale d'administration où les principaux talents nécessaires pour la réussite semblent être ceux de la haine de la France et des Français.
(1) C'est du temps de monsieur Chirac, grand ami de monsieur Hollande, que Maurice Papon a été condamné, comme si la France n'avait pas été vaincue et soumise à cette époque, de plus en zone occupée (Maurice Papon était à Bordeaux).
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