3.11.12

Zombie walk = perversité, viol des droits des enfants

On peut se dispenser de voir des images de la zombie-walk de Toulouse.

Je n'ai pu en voir que quelques unes, tellement l'image de l'homme est défigurée et les taches (fictives) de sang évoquent les crimes violents. Il s'agit d'une négation diabolique de la nature humaine et d'une incitation à la violence. Le terme « zombie » est d'origine vaudou, selon le Trésor de la langue française.

Le vaudou est un culte sataniste.

http://www.cnrtl.fr/definition/zombie

Ces "zombie walks" sont contraires à l'ordre public français.

L'ordre public (voir mon post) c'est la vérité, c'est la liberté, c'est la justice naturelle, ce sont les droits fondamentaux de l'homme.  Les droits particuliers des enfants s'opposent à de telles manifestations publiques.

Voici un extrait de la Convention des droits de l'enfant du 20 novembre 1989 sous l'égide de l'Organisation des nations unies :

Article 19 :
1. Les États parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l'enfant contre toutes formes de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, (…)

La France viole ces droits et d'autres en organisant ou en laissant défiler ces horreurs visibles par les enfants.

L'Etat français se rend coupable d'un viol des droits particulier des enfants et des personnes sensibles.

2 commentaires:

Minoe a dit…

Je voulais réagir à cet article en pointant le fait que ces zombies walk sont encadrées et menées dans un cadre strict. Le parcours de ces marches est précisé et encadré comme toute manifestation culturel par des autorités telles que la police.

Je pense que la personne à blâmer dans ce cas n'est pas l'organisateur de ces événements mais les parents qui mènent leurs enfants dans ce genre de manifestations. C'est aux parents de protéger leurs enfants et un parent qui sait que son enfant à peur des monstres ne doit pas le mener à la zombie walk, ce même si lui raffole de films d'horreur.

De plus je suis plus choquée, personnellement, de voir les atrocités que passent la télévision (je parle là des émissions abrutissantes qui rythment la vie de nos jeunes) que de voir une zombie walk.
S'il faut interdire les zombies walks alors il faut interdire aussi les émissions télé, limiter l'accès au net et effacer tout ce qui n'est pas édulcoré. Ne passer aux infos que "le plus beau village fleuri de France" et autres choses inutiles mais jolies pour ne pas heurter la sensibilité des enfants.

Or si l'on suit cette réflexion qui veut interdire les zombies walks, qui sont un moyen de s'exprimer, d'exprimer une part artistique, car oui il y a de l'art dans ces maquillages qui sont tellement bien réalisés que vous-même en avez peur, alors on prive les personnes qui y participent d'une part de leur liberté.

Je ne parle peut-être pas aussi bien que vous, vous ne lirez probablement pas mes réflexions ou vous rigolerez devant, mais je me devais de défendre ce point de vue car la France a pour devise "Liberté, Egalité, Fraternité" et dans cette devise la Liberté est mise en tête. Pour moi l'interdiction de ces événements reviendrait à brider une part de cette liberté.

Unknown a dit…

Soyez rassurée, madame, je ne ris pas de vous, ni de vos pensées. Je n'en ai jamais eu l'intention. Je respecte votre sincérité.

Cependant les droits de l'homme s'exercent toujours dans un cadre rationnel. C'est l'article 30 de la Déclaration universelle des droits de l'homme qui le rappelle.