Dans ce prétendu "débat" parlementaire, lorsque l'on écoute par exemple l'intervention de madame Poletti (le lien expire 24 janvier 2013), UMP, on voit qu'elle abonde dans le sens de ses collègues socialistes. Elle est "satisfaite" des dispositions proposées par le gouvernement. Elle propose d'aller plus loin !
Cette même personne ose ainsi, contre les dispositions protégeant les droits des mineurs et des parents publier dans un rapport que l'on trouve sur le site de l'Assemblée nationale :
« Même si chacun reconnaît que la cellule familiale est le lieu idéal de dialogue pour accéder à l’information et à la prescription [de l'avortement], force est de constater qu’il existe malheureusement de nombreuses familles au sein desquelles ce dialogue est impossible à établir. »
Ainsi cette femme s'arroge-t-elle le droit de s'introduire dans l'intimité familiale pour s'interposer entre les parents et les enfants, contre le droit, pour y imposer ses opinions irrationnelles. Il se peut ainsi que les parents désirent avoir des petits-enfants, elle va décider à leur place ce qui est bon pour la mineure et pour eux. C'est un esprit totalitaire érigeant ses opinions en absolu.
Nul ne vient contester la conviction des debatters de détenir une vérité absolue dont ils imposent les conséquences dans la législation. L'absence d'opposition facilite cela. Or l'absence d'opposition est due au scrutin majoritaire à deux tours.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire