« Elles ont bousculé tout le monde, elles étaient accompagnées de journalistes, elles se sont figées en continuant à hurler leurs slogans, elles brandissaient des bombes lacrymogènes face à nous et à ce moment-là, elle en ont fait usage dans notre direction. J'ai vu arriver du gaz sur mon visage et sur ma fille âgée de six mois (…) »
La violence légère avec préméditation, même s'il n'en est résulté aucune incapacité temporaire, est punie comme un délit en particulier si elle a été exercée contre une personne vulnérable. (article 222-13 9° du code pénal). Les journalistes n'en sont pas moins des hommes et ne doivent pas rester impassibles lorsqu'un enfant court un danger.
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