A propos de l'édit de Versailles (dit par abus de langage "édit de tolérance") du 7 novembre 1787, il prévoyait que le curé pouvait célébrer les mariages des personnes non-catholiques.
Il est possible que cette disposition législative ait été abusive si l'on le pouvoir politique n'avait pas demandé l'autorisation des évêques, mais si le pouvoir l'avait demandé, ce serait en revanche la preuve que l'Eglise se reconnaît une juridiction sur les mariages des non-catholiques.
Je modifie donc ma précédente appréciation sur cet édit, compte tenu de cette possibilité dans un de mes précédents posts.
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