23.11.12

Le journal La Croix auxiliaire des idéologues

Les idéologues du "mariage" homosexuel ont un auxiliaire en le journal "La Croix".

Il cite complaisamment les arguments des six "juristes" auditionnés par l'Assemblée nationale de "six juristes".

Voici les six juristes :

« Daniel Borillo, maître de conférence en droit privé à l’Université Paris Ouest, Laurence Brunet, chercheur à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Robert Wintemute, professeur au King’s College de Londres, Serge Portelli, vice-président du tribunal de grande instance de Paris, Caroline Mecary, avocate au Barreau de Paris et Clélia Richard, avocate au Barreau de Paris »

Il n'y a pas un seul professeur agrégé parmi ces six juristes.

Il n'est pas normal d'aller chercher un professeur étranger pour établir une loi française.

Les avocats et le magistrat sont des partisans.

Il n'est d'ailleurs pas normal qu'un magistrat soit ainsi un militant de l'abolition du droit au mariage, car cela dénote un profond aveuglement sur la nature du droit humain fondamental. Cela dénote aussi une incompréhension sur la substance de l'homme. Ce n'est pas rassurant sur la valeur de la magistrature française. Pour être magistrat, il faut d'abord respecter la vérité et en particulier la vérité de l'homme.

En définitive, ces "experts" se sont prononcés contre la nature biologique de l'homme. Or l'homme est un animal. Ces personnes n'en ont pas moins décidé arbitrairement et contre la vérité de l'homme, qu'il y devait y avoir une "présomption" de paternité en faveur des membres de couples homosexuels. C'est ridicule et ce serait drôle (après une nuit d'orgie homosexuelle nait un enfant six mois plus tard, c'est que  ces individus veulent implicitement faire dire à la loi). Mais ce n'est pas drôle car c'est contraire aux droits des enfants qui n'ont pas à subir les idéologues.

Enfin, une consultation d'un groupe qui milite unanimement dans une seule direction n'est pas faite pour éclairer les parlementaires, mais pour les aveugler sur leurs décisions. Comme d'habitude, il n'y aura pas, et il n'y a pas eu de débat.

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