"Faire tchoufa", c'est "échouer" en pataouète.
Les journaux, le Monde, essaient bien de faire monter la sauce, mais les vidéos que j'ai pu voir sur François Desouche démentent tout incident sérieux.
Des provocatrices stipendiées par un milliardaire sont venu faire leur sale boulot. Elles violaient la liberté religieuse (en se déguisant en religieuses et non en "nonnes" qui est un terme de mépris) et la liberté de manifestation (en venant agresser les croyants au moyen de slogans anti-religieux lors d'une manifestation autorisée). Elles violaient les droits des enfants et des adolescents en se mettant nues devant eux. Elle violaient les droits des hommes à ne pas être agressés sexuellement. Elles sont parties en courant lorsque des jeunes n'ont pas voulu tolérer la provocation et ont tenté de rétablir l'ordre public. C'est tout.
Dans un Etat de droit, elles n'auraient pas pu même commencer leurs provocations et les forces de l'ordre les en auraient empêchées en raison des infractions nombreuses dont elles se rendaient coupables.
Une journaliste a découvert que les femen étaient des miséreuses ukrainiennes payées 1 000 $ par mois soit 786 € par mois par un milliardaire allemand, un nommé Geier. Lors de l'invasion de l'Ukraine par les forces d'Adolph Hitler, les Allemands payaient aussi les miséreuses ukrainiennes profitant honteusement de leur détresse. Il vaudrait mieux faire oublier ce genre d'événements au lieu d'en raviver la mémoire.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire