A cause d'un incident au cours duquel une femme a été prise à partie pour avoir marché sur le trottoir, on apprend que la municipalité de Toulouse projette, aux frais des contribuables toulousains, des versets du Coran sur la voie publique et maintenant envisage de le faire sur des façades de bâtiments publics.
Or l'enseignement d'une religion par l'Etat ou ses démembrements, surtout aux frais du Trésor public, est incompatible avec la liberté religieuse. (voir l'article 9.1 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme de 1950)
Le Trésor public est à tous, il ne peut servir à enseigner une croyance particulière (même catholique). Le droit de propriété est protégé par l'article 1er du Protocole n° 1 annexé à la Convention.
Il faut que le maire et les responsables de cette action restituent au Trésor public les sommes volées.
Rendez l'argent !
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