Contrairement à ce qui avait été annoncé et à ce que j'avais relayé, le père juché sur une grue n'en descend pas. Il se méfie de la "justice". Il a raison. Le cour d'appel a commis une grossière erreur de jugement, le droit de visite et d'hébergement n'est pas une récompense. Mais les grossières erreurs de jugement de la "justice", j'ai l'habitude.
J'ai connu sa situation, je n'avais ni les moyens mentaux, ni les moyens physiques, ni les moyens financiers pour faire comme lui, mais je le comprends. L'avocate de la mère vient baver sur lui parce qu'il aurait eu, selon l'avocate en question, des propos menaçant envers la mère. C'est facile à dire. Je connais aussi les diffamations colportées parmi la racaille judiciaire.
Moi j'ai connu cela. Je m'entendais très bien avec mon fils, la magistrature me l'a enlevé. Je comprends donc cet homme qui lutte pour l'avenir de son fils.
Maintenant, s'il me lit, je lui dis : « Cher ami, ne mettez aucune vie en danger, même pas la vôtre. Mais cela dit, vous vous méfiez de la racaille judiciaire (voir un de mes précédents posts portant ce titre), vous avez bien raison. »
Il y aura un jugement des parents aliénant, un jugement des juges et un jugement des prêtres quoi qu'il arrive, donc ne faites rien d'irréparable.
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