11.2.13

Le Conseil de l'Europe contre les droits de l'homme

Les droits de l'homme sont universels, c'est-à-dire que tout individu en est titulaire et peut les opposer à tout autre être humain ou institution.

Cette règle de droit fondée sur la logique et l'ontologie humaine est contestée par les communistes (qui ne reconnaissent aucun droit de l'homme), par les traditionalistes, par les contre-révolutionnaires. Mais les communistes et les libéraux avancés ont l'astuce de feindre de lutter pour les droits universels, tout, en réalité, en détruisant leur caractère universel.

Sous leur influence, le Conseil de l'Europe et la législation française, au nom de la non discrimination, en viennent à discriminer. Elles introduisent dans la loi des notions sociologiques qui fragmentent la société au nom de l'universalité du droit.

Ainsi le Conseil de l'Europe dans une "recommandation 1915" du 29 avril 2010 a traité particulièrement des violences faites aux femmes et encore plus particulièrement des violences faites aux femmes homosexuelles où celles qui veulent se prendre pour un homme ("transgenres").

Il ne s'agit d'ailleurs plus de justice (pas une seule fois le mot de "justice" n'est écrit) dans ces documents, mais de "combat", comme dans les idéologies communiste ou fasciste. Il s'agit, dans le cas des documents du libéralisme avancé et du communisme (deux idéologies qui ont les même buts dans la matière qui nous occupe), d'une politique volontariste, évacuant la vérité des droits, fondée sur des plaintes catégorielles dans le but de détruire la cohésion sociale.

Par exemple, un coup de poing donné à une femme "transgenre" ou à un travesti,  sera plus sévèrement puni, fera l'objet d'une enquête plus sérieuse, qu'une série de coups de poings donnée par une bande de filles à une vieille femme pour lui voler son porte-monnaie. Pourquoi ? Parce que si les filles sont homosexuelles et si la vieille femme est une pieuse catholique, la victime ne fait pas partie d'une catégorie spécialement protégée.

Autre exemple : ce sont surtout les femmes qui sont victimes des violences intra-conjugales. Mais... pas exclusivement. 10 % des violences intraconjugales sont commises par des femmes contre leurs conjoints hommes. Ces hommes, certes très minoritaires, sont battus, parfois tués par leurs conjointes. Il leur est difficile d'ailleurs d'aller se plaindre aux forces de police parce qu'ils ont peur du ridicule et des moqueries des policiers.

J'ai connu le cas d'un homme battu par sa femme. Les coups qu'il recevait n'étaient pas pourtant différents de ceux que reçoivent une femme. En lui le droit universel à la vie et à la sécurité était violé. Il ne l'était pas plus, mais pas moins que sur une femme ou tout autre être humain.

Je me souviens d'une affaire rapportée par les journaux où une femme s'était spécialisée dans l'assassinat de ses conjoints. Ce n'est qu'au bout du quatrième assassinat que la police avait commencé à avoir des doutes car tous ses conjoints mourraient toujours "accidentellement" dans une voiture en flamme...

Ces politiques de "lutte contre toutes les formes de..." (..."transphobie" par exemple), sont en réalité des luttes contre le caractère universel des droit de l'homme. Par l'introduction dans le droit de ces néologismes ("homophobie" autre exemple) on détruit l'égalité des être humains et l'universalité de la norme de droit.

Le plus grave c'est que c'est le Conseil de l'Europe qui est un des vecteurs de ces diffamations (car, il s'agit bien de diffamer la société européenne) qui conduit à la fragmentation de la société, donc à sa destruction. C'est pourquoi ceux qui croient bien faire en utilisant le terme de "christianophobie" apportent de l'eau au moulin des criminels anti-humains agissant sous couvert de l'égalité et des "droits de l'homme" pour mieux les détruire.

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