Monsieur Jean-Paul Delevoye, franc-maçon notoire, a déclaré arbitrairement que les pétitions qu'il a reçues pour l'examen de la loi relative à la suppression de la parité dans le mariage seraient jugées irrecevables.
Dans un pays civilisé, le président d'un conseil ne déclare pas aux journalistes la solution qu'il préconise avant d'avoir recueilli l'avis de ses pairs. Lorsqu'il a recueilli l'avis de ses pairs, il y a vote. Alors, il défend la décision prise et ne la commente pas.
Monsieur Delevoye a sans doute reçu l'ordre secret d'agir ainsi contre la courtoisie et le droit. Mais ces déclarations rendent nulles les décisions qui seront prises.
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