Selon le texte du mail, elle lui demanderait "pardon" et lui déclarerait être "désolée"... alors que dans la vie, elle est en train d'achever l'écriture de son récit...
Elle terminerait en lui demandant de "détruire" ce mail et en l'assurant que ses commanditaires ne sont "pas méchants".
Ce message où la vérité doit être mêlée au mensonge pue à la fois, la franc-maçonnerie, la mafia et le Milieu. Il ne peut être lu qu'au second degré, voire plus. Il n'est d'ailleurs même pas assuré qu'il soit authentique. Les aspects rassurant du message sont là pour inquiéter. Les prétendues confidences amicales cherchant la complicité sont en réalité des moqueries humiliantes.
Ce mail est aussi une façon de manipuler la justice... Il permet un partage officieux des bénéfices de l'opération "Jacub-DSK". Ce partage se fait de plus en totale franchise d'impôt tant du côté du payeur que du bénéficaire... Si l'ordonnance de référé est exécutée, monsieur Strauss-Kahn percevra une forte somme officielle et exempte d'impôt sur le revenu mais déductible d'autre part de l'impôt sur les sociétés du débiteur... le tout au nez et à la barbe des agents du fisc.
Voici quelques éléments tirés de la fiche wikipedia concernant madame Marcela Yacoub :
« Après sa thèse de doctorat à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) sous la direction du professeur Antoine Lyon-Caen, elle devient chercheuse au CNRS. Elle est membre du Laboratoire de démographie et d'histoire sociale2 de l'EHESS.
(…)
Parmi les causes qui lui sont chères, citons : la défense du droit à la prostitution, du mariage et de l'adoption pour les homosexuels (hommes ou femmes), des méthodes de procréation artificielle, le végétarisme. Elle s'en prend au féminisme français, qu'elle juge trop moralisateur car demandant une extension toujours plus grande de la répression pénale et elle défend l'idée que la révolution sexuelle des années 1970 a été un échec partiel dans la mesure où elle a renoncé à ses ambitions émancipatrices. »
Madame Iacub est d'autre part collaboratrice habituelle et rémunérée du journal "Libération". "Libération" est grassement subventionné par l'Etat français. Je suis heureux d'apprendre que, en compagnie de mes compatriotes, je participe à la rémunération de madame Iacub, tant par le traitement qu'elle perçoit du CNRS que par les piges qu'elle touche de "Libération".
Il se confirme que l'Etat français n'est pas un Etat de droit.
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