15.2.13

L'assassinat de Durand de Grossouvre

http://programmes.france3.fr/documentaires/index.php?page=doc&programme=docs-interdits&id_article=3526

Sous ce lien on peut voir un documentaire sur la mort de François de Groussouvre (7 avril 1994). Il est évident pour moi que dans ce documentaire, de nombreux intervenants mentent, mentent et mentent.

La description d'un Grossouvre comme un imbécile cherchant désespérément à jouer un rôle auprès du tyran (car Mitterrand était un tyran), est pour moi absolument invraisemblable. Grossouvre était bien trop intelligent pour se désespérer de ne plus plaire ou pour s'inventer des missions.

On peut conclure toutefois de ce documentaire que Groussouvre fut assassiné en raison d'anciennes liaisons disons "amoureuses" (selon l'expression de maître Dumas) et surtout de secrets dont on ne peut que tenter de deviner la nature : mœurs ? corruption ? drogue ? mafia ? Tout cela à la fois ? On ne le saura probablement qu'au jugement dernier.

Il ressort de ce documentaire que les archives sulfureuses de Grossouvre ont disparu juste après sa mort...

Pour des raisons obscures, Mitterrand se rendit aux obsèques de Grossouvre... Sa présence était, à elle seule, un message. Elle n'était pas motivée par l'amitié puisque le fils de Grossouvre atteste que Mitterrand haïssait son père.

Le dossier judiciaire fut falsifié par le médecin légiste qui se mua en expert balistique et qu'il est très peu vraisemblable qu'il le fît de sa propre initiative. Il ne fut nommé aucun expert balistique qui aurait pu, lui, dire si les blessures mortelles étaient ou non compatibles avec un suicide.

Nous ne sommes pas dans un Etat judiciaire de droit.

Epilogue qui n'est pas dans le documentaire : François Mitterrand est mort tué, à sa demande de malade, par un « médecin » ("euthanazie" à la demande du malade). Ce fait fut récemment révélé. (On disait, jusqu'à il y a peu, que François Mitterrand avait seulement demandé que l'on ne s'acharne pas thérapeutiquement sur son cas, ce qui était mensonger).

On vérifie ici, comme partout, que le règne du Christ fait sentir son importance aussi bien par sa présence que par les méfaits de son absence.

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