Environ 13 mois après son premier livre où, indirectement, madame Iacub défendait monsieur Strauss-Kahn, le même auteur, chercheur en droit, livre un autre ouvrage où, selon des comptes-rendus, elle décrirait celui qui était devenu son amant à la suite de la publication du premier livre, comme un garçon "mi-homme, mi-cochon".
A-t-elle rejoint les femmes qu'elle fustigeait dans son premier livre ? Je ne le saurais pas parce qu'ayant été spolié de mes biens par la "justice" française, je n'ai pas les moyens de m'acheter ces livres afin des les lire. Cela m'aurait pourtant intéressé, moi qui suis ancien avocat, d'en comparer les thèses. Parce que je suis certain que, sous les anecdotes sulfureuses, se cache une thèse, ou plutôt deux thèses juridiques sérieuses et probablement contradictoires qui illustrent l'extrême complexité des relations hommes-femmes et la complexité, non de la définition du viol, mais de l'établissement des faits.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire