25.2.13

Affaire Strauss-Kahn vs Iacub

Madame Iacub est ancienne avocate, chercheuse au CNRS et collaboratrice du journal Libération (subventions : environ 10 000 000 € par an pris sur le Trésor publis). Elle a écrit un livre paru en janvier 2012 intitulé "Une société de violeurs" dans lequel, selon la quatrième de couverture, elle semble s'en prendre à un certain féminisme fait de haine de l'homme (en latin vir, qui a donné viril en français). Entre le viol, le harcèlement sexuel et faire la cour il doit être parfois difficile à un juriste de faire la différence. Un avocat a été poursuivi pour avoir écrit des centaines ou des milliers de lettres d'amour à une avocate qui ne lui demandait rien (l'histoire ne précisait pas si elle lui avait demandé d'arrêter de lui écrire des lettres avant de déposer plainte contre son amoureux). Je n'ai pas su finalement s'il avait été condamné.

Environ 13 mois après son premier livre où, indirectement, madame Iacub défendait monsieur Strauss-Kahn, le même auteur, chercheur en droit, livre un autre ouvrage où, selon des comptes-rendus, elle décrirait celui qui était devenu son amant à la suite de la publication du premier livre, comme un garçon "mi-homme, mi-cochon".


A-t-elle rejoint les femmes qu'elle fustigeait dans son premier livre ? Je ne le saurais pas parce qu'ayant été spolié de mes biens par la "justice" française, je n'ai pas les moyens de m'acheter ces livres afin des les lire. Cela m'aurait pourtant intéressé, moi qui suis ancien avocat, d'en comparer les thèses. Parce que je suis certain que, sous les anecdotes sulfureuses, se cache une thèse, ou plutôt deux thèses juridiques sérieuses et probablement contradictoires qui illustrent l'extrême complexité des relations hommes-femmes et la complexité, non de la définition du viol, mais de l'établissement des faits.


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