28.2.13

Les droits d'émigration et d'immigration font partie des droits de l'homme

Les droits d'immigration et d'émigration existent, mais ils ne s'exercent, comme tout droit, pas arbitrairement (article 30 de la Déclaration universelle des droits de l'homme).

Le droit de se fixer à l'étranger n'est pas arbitraire. Il faut des "motifs valables". Il faut également respecter les lois et la culture du pays d'accueil faute de quoi, ce droit se perd. Il ne peut y avoir d'impérialisme culturel dans le pays d'accueil de la part des migrants.

Ainsi l'actuelle construction de mosquées sur le territoire national est contraire lorsqu'elle est financée par le Trésor public (que le Trésor public soit français ou de n'importe quel pays) :

1) au droit de propriété
2) à la liberté religieuse (l'argent de tous n'a pas à financer le culte ou la foi de certains)

Le droit à l'immigration est aussi limité par les possibilités d'accueil du pays d'immigration.

Du fait de leur nombre, elles détruisent l'identité culturelle française. C'est le droit des Français de garder leur identité.




Mais même lorsqu'elle n'est pas financée par le Trésor public est contraire du fait des fonctions des bâtiments et de l'enseignement fragmentant l'humanité qui y est dispensé au droit universels de l'homme et au droit des Français à leur culture.

Ainsi on ne peut imposer aux Français et à la France un droit d'immigration illimité et sans condition.

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