26.2.13

Reportage sur l'aliénation parentale


C'est aussi mon enfant par ACALPA

Un reportage sur l'aliénation parentale. Je remarque l'histoire d'Alexandra qui avait interdiction de sortir du territoire national. C'est donc bien un juge ou des juges français qui avaient mis en place l'aliénation parentale puisque la mère résidait en Allemagne.

Il semble que ceux qui se penchent sur le phénomène pour tirer les caractères communs aux différents en vue de donner une définition du concept (par induction) l'étendent à l'aliénation d'un ou de plusieurs grands-parents.

Il me semblerait intéressant d'étendre l'étude à l'entourage du parent aliénant. Le parent aliénant est-il seul, a-t-il le concours de son propre entourage ?



En France, la magistrature me semble avoir une responsabilité écrasante dans l'extension du phénomène. Le reportage évite de mentionner cette responsabilité (les magistrats font peur, leur pouvoir est le plus souvent arbitraire et leur psychologie tributaire des lubies acquises à Bordeaux), mais dans le reportage nous avons un premier indice : Alexandra avait l'interdiction de sortir du territoire national. L'auteur de reportage glisse rapidement, il ne veut pas se mettre à dos le Syndicat de la magistrature.

L'expert psychiatre monsieur Paul Bensoussan met bien en évidence que le temps perdu du fait de l'aliénation parentale ne se rattrape jamais. Une relation peut se renouer, mais le temps perdu est définitivement perdu (ce qui ne signifie nullement qu'il faille désespérer et ne pas chercher à renouer). Il met bien en évidence également que l'aliénation parentale peut exister chez des parents cohabitants. On peut imaginer par exemple une mère laissée seule à la maison durant les promenades du père avec les enfants, un complot pour l'empêcher de parler à ses enfants ou à table... L'aliénation sera présente dans une famille apparemment unie.

Mais ce qu'il faut surtout retenir, c'est que l'aliénation parentale ne semble pouvoir exister que lorsque un magistrat et ses collègues prennent partie pour l'un des parents contre l'autre. Si la loi était appliquée, un grand nombre de cas n'existeraient pas. La loi, c'est : si votre enfant ne va pas voir son père (ou sa mère), vous, vous allez aller en prison. Mais les magistrats classent sans suite, ils ont des choses plus importantes à gérer... J'ai déjà posté plusieurs fois sur ce phénomène et sur l'écrasante responsabilité de la "justice" française qui viole les droits des enfants. En cherchant sur le blog on trouve encore d'autres posts sur la question.

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