13.2.13

Les condamnations variables des ministres et du maire de Paris

Lorsque une mosquée ou une synagogue sont profanées, même par de simples grafitis extérieurs, dont rien n'indique la provenance, les autorités françaises s'époumonent en indignations agressives, appels à la haine etc. Toutes les polices sont sur les dents pour retrouver les "coupables".

Je rappelle dans un domaine voisin l'affaire du Piss-Christ où une enquête suspecte et des prises de position suspectes ont conduit des innocents choisis en raison de leurs convictions devant le tribunal correctionnel... Brisant ainsi l'égalité de tous devant la loi et faisant des conviction une preuve de culpabilité. Voir mes posts sur cette affaire très suspecte où autorités véreuses et barbouzes d'Etat semblent s'être entendues. Cela n'empêche nullement les impudiques médias de reprendre cette affaire, comme si c'était une évidence que les "intégristes" avaient détruit une œuvre, les médias subventionnés stigmatisant grossièrement la foi catholique et elle seule.

Lorsque la cathédrale de Paris est profanée par des mercenaires aux ordres rémunérés d'un milliardaire, cela donne lieu à quelques "regrets" du bout des lèvres. D'ailleurs on ne présente aucune excuse à la communauté des croyants catholiques, non, les autorités regrettent l'aspect contre-productif de ce genre de manifestation... pour leur politique anti-catholique et anti-droits de l'homme. Les journaux subventionnés par l'Etat, par le ton employé dans leurs articles, sympathisent avec les auteurs de l'attentat contre la liberté religieuse en racontant par exemple qu'elles ont été brutalisées par les intégristes.

La France n'est pas le pays de l'égalité, ni des droits de l'homme.


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