"Le 29 mai dernier, la 7ème chambre correctionnelle de ce TGI me condamnait à 1000 euros d’amende et 9000 euros de dommages-intérêts envers la municipalité socialiste de Taverny, pour avoir osé déchirer l’immonde préservatif géant de 11m que celle-ci avait érigé, à l’entrée de la ville, en décembre 2006, lors de la journée mondiale de lutte contre le sida. Le 23 octobre, la même chambre correctionnelle du même TGI condamnait un certain Monsieur Crepin à seulement 500 euros d’amende et 6000 euros de dommages-intérêts envers la même municipalité socialiste de Taverny… Qu’avait donc fait ce Monsieur CREPIN ? Avait-il osé détruire un préservatif géant ?
Non, il avait juste saccagé l’église Notre-Dame de Taverny, joyau du XIIIème siècle, en y pénétrant par effraction, brisant nombreux vitraux et détruisant du mobilier sacré. Autrement dit, aux yeux de la « justice », il apparait moins grave de profaner un lieu saint, la Maison de Dieu, un trésor inestimable de notre patrimoine que d’oser s’en prendre à une obscénité phallique, outrage aux bonnes mœurs, attentat à la pudeur et objet de scandale pour les jeunes enfants ! N’y-a-il pas là une justice à deux vitesses ? Il est vrai que ce Monsieur Crepin avait, contrairement à moi, deux atouts majeurs : d’après les juges, il serait alcoolique, mais surtout, il n’est pas du Front National ! J’aurais été très curieux de connaître sa condamnation s’il avait osé commettre une même profanation sur l’une des mosquées du Val d’Oise…"
MJ (du Salon beige)
Être alcoolique n'est pas une circonstances justifiant la clémence, d'autre part détruire des oeuvres d'art est un dommage irréparable et donc 6 000 €, ne répareront pas la destruction des vitraux.
De plus Crépin s'en est pris à la liberté religieuse des habitants de Taverny. Mais ça nos juges partiaux n'en ont même pas conscience, leur culture ne va pas jusqu'à savoir ce qu'est la liberté religieuse : la preuve.
On peut écouter et voir monsieur Simonnot sur son aventure judiciaire ici
http://www.dailymotion.com/video/x5ltcl_interview-alexandre-simonnot-fn_news
Alexandre Simonnot fait des observations très justes sur les juges français dans cette interview.
Moi j'ai été condamné par les mêmes juges français à ne plus voir mon fils mineur, et j'ai été condamné à 10 000 € d'article 700 (indemnité pour l'avocat) pour avoir écrit deux pages de conclusions, sans avocat et sans pièces.
Les juges français sont souvent des tyrans.
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