De ces statistiques cependant on ne peut rien déduire pour interdire une opinion, d'autant plus que ces enquêtes sociologiques sont fondées sur quoi au fait ? Des interviews, des dossiers pénaux, sur des supputations ?
C'est pourtant ce que tentent les homosexualistes avec à leur tête monsieur Peillon :
"Je ne veux pas raviver la guerre scolaire. Et suis très respectueux du caractère propre de l'enseignement catholique. Mais, en retour, cet enseignement, qui est sous contrat avec l'Etat, doit respecter le principe de neutralité et de liberté de conscience de chacun. Il est du devoir de l'Etat d'être garant du respect de ces principes. N'oublions jamais que nous avons affaire à des adolescents et que les tentatives de suicide sont cinq fois plus fréquentes chez les jeunes qui se découvrent homosexuels que chez les autres."
D'une part aucune référence n'est donnée pour la statistique invoquée. Cette statistique est invoquer pour intimider.
La conscience est un jugement. Un jugement ne peut être arbitraire. C'est pourquoi il faut former les jugements des enfants. Par exemple monsieur Peillon émet un jugement fondé sur des critères personnels qui lui ont été inculqués. Il prend son jugement de conscience pour la vérité. Il ne faut donc pas qu'il invoque la liberté de conscience pour mieux la bafouer en pratique. L'enseignement est fait pour faire parvenir les enfants à une parfaite liberté de conscience, une conscience donc qui sera cultivée et non laissée en jachère sous prétexte de liberté. La nature confère aux parents l'enseignement de leurs enfants. Monsieur Peillon a eu des éducateurs et des parents, qu'il ne tente pas d'en priver ceux qui en ont. Qu'il ne dise pas à l'enfant "décide !" sans lui avoir permis et donné les moyens aux parents de donner l'éducation qu'ils veulent lui donner. La liberté de conscience, c'est aussi les moyens de la liberté qui suppose éducation préalable.
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