La liberté religieuse n'est pas arbitraire. Elle a donc ses limites dans les autres droits de l'homme.
Voici ce que Mgr Mamberti a déclaré dans son interview à Radio-Vatican à propos des affaires qui vont être soumises à la Cour européenne des droits de l'homme (syndicat de prêtres et enseignant athée dans l'enseignement catholique) :
« Ainsi, ces affaires mettent en cause la liberté de l’Eglise de fonctionner selon ses propres règles, de ne pas être soumise à d’autres règles civiles que celles nécessaires au respect du bien commun et de l’ordre public juste. »
L'Eglise est donc soumise, comme toute religion, au bien commun que l'Etat doit mettre en œuvre et à l'ordre public juste. L'ordre public juste comprend, selon moi, deux éléments, l'un absolu et universel et l'autre relatif à la nation concernée.
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