Critique littéraire : un livre vient de paraître dont les auteurs sont une dame et un monsieur. Il s'agit d'un livre sur la psychologie au travail. La dame fait observer que les gens sont généralement élevés dans l'idée qu'il faut plaire [à l'autorité], donc lui obéir. Elle, elle prône la résistance à l'autorité lorsque les ordres ne conviennent pas. Non pas si les ordres sont en contradiction avec la loi morale universelle, mais si cela ne convient pas à l'employé. Elle ajoute que d'ailleurs, comme l'autorité use de mensonges et de manipulations (selon elle), elle préconise l'emploi du mensonge et de la manipulation par l'employé contre l'autorité.
L'interviewer n'a pas un mot de désapprobation et semble frétiller d'aise.
Cette séquence est évidemment contraire aux droits universels de l'homme. Au principe de fraternité énoncé par l'article premier de la Déclaration de 1948 :
« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »
Mentir est contraire à la raison et à la conscience et à la fraternité universelle.
Les impôts de tous servent ainsi à rendre les gens malheureux, à détruire la société et à inciter à la destruction des principes même fondant juridiquement les droits universels de l'homme.
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