25.1.13

La parité, oui, mais pas dans le mariage !



Lu sur le Salon beige :

Le ministre de l'Intérieur (d'origine espagnole) tient un discours à l'Assemblée sur les modes de scrutins pour l'élection au "Conseil départemental" (ex "conseil général")

"Ce que souhaite le Gouvernement, c’est un scrutin départemental, qui garantisse à la fois la proximité, c’est-à-dire le lien avec le territoire,et la parité. Ces deux objectifs ne peuvent être atteints, ni avec la proportionnelle intégrale, ni avec le scrutin actuel, qui est inégalitaire. Nos conseils départementaux comptent seulement 13,5 % de femmes – deux départements n’en comptent aucune ! – et les candidatures féminines ont encore régressé à l’occasion des dernières élections cantonales. Il faut convaincre ! Ce scrutin binominal garantit à la fois la proximité et la parité. [...]
Patrick Labaune et  Céleste Lett ;
"Il n’y a que dans le mariage qu’il n’y a pas de parité !"

Ah, le scrutin est inégalitaire, il n'est donc pas démocratique ! Même eux qui en profitent s'en aperçoivent.

En revanche, l'imposition de la "parité" en politique fragmente la société. La vocation des femmes qui sont mères, sœurs, filles d'hommes n'est pas la même que celle des hommes qui son pères, frères et fils de femmes. Mais elles ont les mêmes droits que ceux des hommes. Il ne faut donc pas fragmenter la société dans les droits fondamentaux sous prétexte de parité. Il ne faut donc pas de loi contraignante discriminant selon le sexe.

En revanche dans la seule institution qui exige la parité parce que c'est sa constitution qui le veut, ils veulent l'éliminer ! Ces gens sont de véritables pervers.

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