Voici un extrait d'un texte de monsieur Le Gallou sur l'exception française :
« Le vote de la loi sur le « mariage gay », imposé dans tout l’occident par les officines politiquement correctes et Hollywood, cela a pris trois heures au parlement néo-zélandais ; guère davantage à Bruxelles et à Amsterdam. Pas si simple à Paris ! Un an de débat philosophique, six mois de débat parlementaire, plus d’un million de manifestants dans les rues, et une mobilisation qui ne faiblit pas. En France on ne change pas de civilisation en catimini ! »
Il paraît qu’à la question « - Quel est votre but ? » Lénine répondit « - Notre but ? C’est la destruction de la France. » Destruction commencée lors de la Commune (1871) par Marx. Le "mariage" homosexuel est une idée marxiste (donc fille de l'abbé Meslier et de Jean-Jacques Rousseau), je l'ai démontré sur ce blog.
«Comme autrefois il préféra la tribu de Judas à celles des autres fils de Jacob, et comme il la gratifia de bénédictions spéciales, ainsi choisit-t-il la France de préférence à toutes les autres nations de la terre pour la protection de la foi catholique et pour la défense de la liberté religieuse. » Saint Pie X.
J’admire les textes de Vatican II.
Je suis opposé à l’idée fondamentale de monsieur Le Gallou. Mais certaines de ses constatations et dénonciations pas de toutes ses idées et dénonciations qui sont parfois valables.
C’est exact, il persiste en France quelque chose de spécial que l’on ne retrouve nulle par ailleurs dans le monde. Seul le peuple français semble avoir compris que le mariage, indissoluble entre un seul homme et une seule femme est au centre de la civilisation et qu’il mérite que l’on se sacrifie pour lui.
J’admire donc les Veilleurs, les Mères veilleuses, les Sentinelles et les autres du même genre.
Et malgré tout ses défauts, ses extrémismes et ses erreurs, parfois graves, j’admire la France pour ce qu’elle est en sa substance, la France des droits de l’homme et de la foi catholique réunissant l’Ancien Régime et la République. Cette France miraculeuse qui se lève pour le mariage, parfois malgré un certain clergé. Je suis très fier d'en être le fils.
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