Lu sur François Desouche à propos d'un fait divers :
« L’Eglise a peut-être bcp de défaut, mais il me semble que ceux qui sont élevés dans la foi catholique ont plus rarement ce genre de comportement…je pense que l’enseignement de la foi catholique devrait être obligatoire, comme religion pour ceux qui veulent, mais surtout comme ciment social et pour apprendre le respect de l’autre…afin d’endiguer le retour de l’homme à l’état primitif (même si pour bcp c’est déjà fait!) »
Le petit problème c'est que bien souvent la foi catholique n'est plus enseignée par les diocèses qui oublient trop que la foi catholique défend et promeut les droits universels de l'homme. La liberté religieuse est le socle de la liberté d'être catholique.
Cette liberté s'étend à la société politique.
Être catholiques et français ? C'est notre choix, c'est notre droit. Ce choix et ce droit s'exerce collectivement.
Par une étrange coincidence inaperçue tant des "républicains" que des "traditionalistes" contrerévolutionnaire, la France se proclame judéo-chrétienne dans sa devise :
Liberté, égalité, fraternité.
Car si la liberté et l'égalité des êtres humains dans leurs droits fondamentaux sont des données de la raison universelle de l'homme présupposant la valeur de justice ; en revanche c'est Moïse, que Jésus-Christ confirma, qui révéla la fraternité universelle. Cette fraternité universelle, bien que convenant très bien à la raison humaine, est une donnée de la foi. Donc la République française confesse sa foi. C'est la liberté française d'être catholique au niveau de l'État. C'est une liberté que la France exerce et nul ne peut lui contester ce droit fondamental de la société politique française. La liberté, c'est une des données du bien commun.
Allons plus loin: en conséquence de la devise française, l'ordre public français comprend la foi judéo-chrétienne.
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