2.1.13

La non-représentation d'enfant en France : exemple de l'affaire de Nantes


Une enfant de 16 ans, dont le père est mort, vit loin de sa mère, contre la volonté de celle-ci. Elle vit dans un taudis,  totalement livrée à elle-même, perdant les moments les plus précieux de son existence.

Voici un extrait de ce qu'elle déclare aux journalistes (complaisants) :


Pourquoi trouver refuge ici, à Notre-Dame-des-Landes ?Je me considère comme une . J’ai commencé par être , mais je me suis rendu compte que ce système a échoué dans les pays où il avait été appliqué. J’aime le partage, le fait de ne pas penser qu’à soi. Ici, on vit en communauté, et ça me plaît. Ensuite, je me reconnais dans le combat des anti-aéroport, un projet qui menace la nature sans être nécessaire. On défend une cause juste.

La France n'est évidemment pas un Etat de droit. En France, une enfant de 16 ans, cesse ses études, est soustraite à l'autorité naturelle de ses parents (en l'occurrence de sa mère), au vu et au su des autorités se trouve en danger moral et de santé sans aucune réaction des autorités, contrairement à l'article 18 de la Convention international des droits de l'enfant.

Cependant que ceux qui, amis idéologiques du gouvernement, gravitent autour de cette enfant ne sont pas inquiétés pour leur délit.

Pendant ce temps, d'autres sont poursuivis et sévèrement tourmentés par les autorités judiciaires pour avoir déployé un calicot sur un chantier inoccupé.

La France, pas plus dans les médias que dans le personnel judiciaire, ne respecte l'égalité des citoyens.

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