Les Gaulois ont bon dos. A terre, exangues ne pouvant plus parler d'égal à égal avec l'occupant, ils sont montrés du doigt pas MM. Jacques Chirac et François Hollande. Mais parfois un pan de l'histoire occulté réapparaît, ainsi trahoir commente sur le Salon beige (extraits) :
« Une rafle - même si son accomplissement n'est pas souhaitable - n'est pas en soi un acte criminel ! (...)
En l'occurrence, la question [ est de rappeler ] le rôle des acteurs qui l'ont utilisée: en l'occurrence les ordonnateurs et praticiens des tris du centre de Drancy et des déportations qui s'en suivaient !
Et là, il ne s'agissait plus des "gendarmes de base" français, qui n'avaient sans doute aucune idée du devenir des raflés, mais bien des occupants et de leurs auxiliaires (effectivement parfois français) au premier rang desquels il ne faut tout de même pas oublier les collabos de l'UGIF dont le fameux Abraham Drücker, agent d'Aloïs Brunner, n'est qu'un représentant parmi bien d'autres. (...)
http://www.alterinfo.net/Abraham-Drucker-le-pere-de-Michel-Drucker-etait-un-medecin-au-camp-de-Drancy_a12007.html
Mais le père de monsieur Drucker et les israélites de l'UGIF, croyaient-ils envoyer les victimes des rafles dans les chambres à gaz ? Ils connaissaient la déportation, mais connaissaient-ils les chambres à gaz ?
1 commentaire:
"...Mais le père de monsieur Drucker et les israélites de l'UGIF, croyaient-ils envoyer les victimes des rafles dans les chambres à gaz ?..."
Question épineuse: les victimes allaient-elles directement dans ces chambres à gaz mortifères ? Certains le savent, mais qu'il n'est pas recommandé de citer, eut égard aux lois mémorielles.
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