L'existence des 2 000 000 de prisonniers français en Allemagne n'a-t-elle pas été voulue pour humilier la France. Cette volonté ne s'est-elle pas concrétisée par l'exécution d'un plan secret ?
« (...) ce que la FRANCE cache à son peuple en refusant de tendre le micro, à ces prisonniers de guerre français, qui furent les premières victimes de cette guerre et dont chaque famille Française était touchée, par l’absence de l’un des leurs, en captivité.
Ces hommes qui n’ont jamais quitté l’uniforme français durant ces cinq longues années, n’auraient-ils pas droit à la reconnaissance de leur Patrie, d’autant qu’ils ne sont pas responsables de cette guerre et encore moins de la défaite de la FRANCE. Seraient-ils eux aussi des détails pour nos gouvernements successifs ?
Ce mutisme sur leur vie là-bas est bien orchestré et doit bien avoir une raison qui interdit qu’on leur donne la parole ? Qui controle cette interdiction qui se perpètue ? »
Ce monsieur Berton, qui est un homme simple dont corrige deux fautes d'orthographe, constate dans son camp disciplinaire réservé aux prisonniers français :
« Madame Simone VEIL, qui a reconnu avoir travaillé dans cette même usine, ne savait pas que les prisonniers qu’elle apercevait de loin étaient des prisonniers de guerre Francais punis et soumis au même régime, chambres à gaz et fours crématoires en moins. »
Je suis en effet étonné du silence sur les souffrances des prisonniers français qui ont tant manqué à la France durant 5 ans.
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