« La mosquée est ouverte à la visite touristique toute l'année (...). La visite est gratuite pour les musulmans et payante pour les non-musulmans. Toutefois, les visiteurs musulmans sont invités à déposer de l’argent dans une urne pour la zakât. »
Ainsi en plein Paris, dans un édifice bâti avec les fonds de tous les Français (« [La] loi du 19 août 1920 (...) accorde un crédit de 500 000 francs
pour la construction d'un Institut Musulman regroupant une mosquée, une
bibliothèque et une salle d'étude et de conférences »), il existe une discrimination selon la religion professée. Naturellement nos autorités restent muettes, le fait n'est pas dénoncé par les médias ni poursuivi par l'autorité judiciaire. Pourtant il s'agit d'une injustice très grave à l'égard des Français qui ont financé cet édifice et à l'égard de l'humanité dans laquelle on ne doit pas discriminer selon les croyances.
Décidément, la France est le pays de la discrimination et n'est pas un pays de droit. Je pense encore à cette audience du 19 juillet à propos de Piss-Lambert (dit Piss-Kraïst), à l'issue de laquelle et alors que les débats étaient clos, au vu et au su du président qui semblait complice, le procureur de la République s'est adressé aux ex-prévenus en toute illégalité pour les humilier, et pour briller devant les journalistes.
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