Le secrétaire du chapitre général a publié le communiqué suivant (selon le site tradinews) :
"L’Institut du Bon Pasteur, en son chapitre général, le deuxième après celui de fondation, a fait le point sur ces six années écoulées et a confirmé ses récents statuts dans la fidélité aux engagements pris en 2006. Etant une jeune fondation, l’Institut du Bon Pasteur se consolide guidé par les statuts approuvés par le Saint-Siège autour desquels de nombreux prêtres et séminaristes se sont unis dans le service de l’Eglise. Ont été élus :
- l’abbé Roch Perrel supérieur général,
- l’abbé Paul Aulagnier premier assistant,
- l’abbé Leszek Kròlikowski deuxième assistant,
- l’abbé Stefano Carusi troisième conseiller,
- l’abbé Louis-Numa Julien quatrième conseiller."
On se grandit en acceptant les règles du jeu. Dans ce communiqué il y a deux grands absents : l'abbé de Tanoüarn et l'abbé Laguérie dont les querelles mal dissimulées n'ont pas été, apparemment, du goût de leurs pairs.
L'essentiel est que cet institut continue dans sa voie propre, dans le respect du Saint-Siège et de la doctrine de l'Eglise, y compris celle de Vatican II et du magistère des Papes qui ont succédé à Pie XII.
L'existence même de cet institut est fondée sur la liberté religieuse, droit pivot des droits de l'homme , liberté qui est signe de la vocation transcendante de l'être humain. Cette liberté fonde le droit aux traditions religieuses.
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