L'affaire de Ligonnès continue d'être instrumentalisée au profit d'une idéologie anti-croyance.
L'interview de monsieur Fenech, président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDE) est consternante de partialité.
Madame Geneviève de Ligonnès a créé dans les années 60 une "église de Philadelphie" qui proposait un message apocalyptique. Selon le président de la Mivilude ses adeptes lui remettaient de l'argent.
Le même monsieur Fenech
évoque également des signalements, vers 1995, de déscolarisations, de ruptures professionnelles et des dons, qui pouvaient être de l'ordre de centaines d'euros par mois, versés à ce groupe.
Or, de Ligonnès a été élevé dans une famille dont le père était incroyant et Xavier de Ligonnès se définissait comme incroyant (soi-disant après 35 ans de militantisme catholique, dont on cherche en vain la trace, il n’y a aucun témoignage). Il se déclarait athée.
Le silence sur ces faits, alors qu'ils sont déterminants, et l'insistance sur les prétentions mystiques rémunérées de la mère sont de la désinformation d'État.
L'affaire de Ligonnès qui n'a rien à voir avec la foi ou la croyance est ainsi mensongèrement mise au service de l'athéisme alors que de Ligonnès (est) était lui-même athée, ne mettant jamais les pieds à l'église, fils d'un père athée et d'une mère "mystique" rémunérée.
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