Lu sur le Salon beige un extrait de l'homélie prononcée par le cardinal Bagnasco, président de la Conférence épiscopale italienne, le 18 décembre 2012 devant les sénateurs italiens assemblés pour la messe précédent Noël (malheureusement je n'ai pas trouvé sur le Salon beige le lien vers le texte intégral) :
Oui, le cœur des pères devaient retourner vers leur fils, vers les jeunes qui ne cherchent pas des illusions mais la vérité des choses qui comptent, celles que nos parents ont vécues dans la dignité et dans un esprit de sacrifice, avec honneur et fierté, en des temps difficiles et incertains, pauvres matériellement, mais riches d’espérance. S’éloigner de la voie de ces pères signifie faire illusion, condamner au malheur les générations futures, construire une société d’apparences, un peuple sans âme parce que privé de valeurs belles, même si elles sont sévères. Ce serait une trop grande responsabilité. [...]"
Merci au cardinal. Cette déclaration pour nous Français vient à point juste au moment où nos ancêtres, donc nous et nos descendants, sommes attaqués par les hommes politiques depuis le sinistre Hollande jusqu'à monsieur Aliot en passant par monsieur Jupé.
Non, nos pères n'ont pas failli à l'honneur, ils ont porté la civilisation en Algérie et ont fait un bien immense que l'Algérie ne peut leur rendre. Les diffamations n'y pourront rien, la vérité est là.
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