La disparition d'une jeune fille à La Réunion partiellement mangée par les requins, à incité un élu réunionnais à saisir le tribunal administratif pour forcer l'État à agir contre ce fléau (lien vers l'article du Figaro).
« Ce référé, qui aura pour objet d'enjoindre à l'Etat de prendre des mesures pour limiter la présence de requins sur les côtes, proposera le "prélèvement systématique" des requins bouledogues, soupçonnés d'être à l'origine des attaques, afin de "déranger leur sédentarisation" dans la zone, a-t-il dit.
"Il faut forcer l'Etat à agir", a dit Patrice Spinosi [avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation]. Les modalités de la chasse au requin (taille des animaux, nombre d'individus à pêcher, etc.) devront être définies par l'administration en cas de décision positive du tribunal. »
Ces questions inutiles de "biodiversité", de la taille des animaux, du nombre d'individus à pêcher ne devraient pas être évoquées. En revanche, il est nécessaire d'invoquer le droit de l'homme à la vie et le droit de l'homme à dominer la nature. L'éventuelle (et fort peu probable) disparition d'une espèce ne se met pas en balance avec le risque pour la vie d'un seul humain.
Les défenseurs de l'humanité auront en face d'eux les spécistes matérialistes (Rousseau, Malthus, Marx).
Ces derniers pourront invoquer les textes internationaux qu'ils ont inspirés (voir ce site mis en ligne par les soi-disant "Verts"), notamment l'accord pour la conservation des requins :
« Le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) a communiqué aujourd’hui même la décision, par les représentants de 50 pays réunis à Bonn, d’un accord international pour un plan de conservation des requins dans le monde. »
Ces textes bafouent la raison et entravent la liberté humaine. Lien vers le texte du 27 septembre 2012 du Programme des Nations unies pour l'environnement. L'environnement n'a rien à voir avec la vie des requins. La vie des requins mangeurs d'hommes pollue.
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