Ayant été longtemps avocat de cette association, je lis que son conseil parisien, maître Lépidi, a joué un rôle actif, contre l'avis des représentants du gouvernement, pour aider à ce que l'affaire qui concerne l'ancien directeur du Fonds monétaire international arrive devant une juridiction de jugement.
Voici ce que l'on lit sur le site du Figaro (via François Desouche) :
« Ce mois-ci, une association, Equipes d’action contre le proxénétisme, partie civile dans l’affaire, avait fait pression sur les juges chargés d’instruire ce dossier. Dans un mémoire transmis à « « ces derniers et auquel soutenait que DSK devait être jugé non seulement pour «proxénétisme» mais aussi pour «recel de proxénétisme». Pour son avocat Me Lepidi, DSK «ne pouvait pas ne pas savoir» que les participantes aux parties fines étaient des prostituées, ce que conteste la défense de l’ex-patron du FMI. Les termes utilisés par DSK dans des SMS adressés à d’autres personnes mises en cause, «comme ‘matériel’ ou ‘marchandise’, sont des mots utilisés dans différentes affaires pour désigner des prostituées (…), dans le cas où on serait sur écoutes», avait notamment expliqué Me Lepidi. […] »
Les mots utilisés trahissent une mentalité d'esclavagiste (voir Coke en stock).
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