Lu sur le Salon beige à propos de l'"Europride" organisée à Marseille prétendue capitale de la luxure :
Un témoin relate l'échec commercial de cette manifestation dans ville de monsieur Gaudin :
« Il y a bien une expo "culturelle", mais qui est en fait un amas de gens à poil pris en photo. Sur les stands (AIDES, Sidaction, et autres réjouissances), il n'y a que des capotes, parfois des godes, du lubrifiant. Il y aussi par exemple de la doc sado-maso dégueulasse, qui décrit des pratiques très limites : saignées, brûlures à la bougie, éléctrocution (!). Lorsque j'ai exprimé ma surprise à l'association qui proposait cette brochure (une association financée à 100% par des subventions publiques), je me suis vu répondre : "Ces pratiques existent, autant les encadrer!". »
L'échec de cette exposition ne doit pas nous réjouir, car il est certain que les promoteurs de cette ignominie savaient qu'elle n'aurait aucun succès. Ce n'est pas pour le succès qu'ils ont versé des subventions. C'est pour braver l'ordre public catholique et français. Ceux qui ont reçu les subventions ne ont pas rendues.
Juridiquement, c'est du vol en vue de provocations à la débauche et aux tortures avec l'argent pris de force sur le patrimoine des familles. Il est difficile d'imaginer plus bas dans le satanisme. Une magistrature vraiment indépendante et vraiment dévouée au bien commun poursuivrait les responsables, si haut qu'ils soient placés. L'État français est devenu une sorte de gang. Les jeunes qui se lèvent contre lui sont l'espoir de redressement français.
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