Ce qui se compte, n'est pas toujours ce qui est important

Alors que certains députés, comme monsieur Garraut insistent sur la stratégie de conquête du pouvoir par la propagande. En l'occurrence par la propagande par des thèmes "de droite", j'ai eu ainsi un échange avec "clovis" sur les points non négociables :

Ah ! La France des clochers et des terroirs aux racines chrétienne !

Certes, mais moi je veux du concret : les points non négociables (Vie, mariage, liberté) je veux aussi la justice sociale et la réputation de la France et des Français. Sorti de là, je ne vois aucun avantage à la poésie.

Rédigé par : Denis Merlin | 8 mai 2012 12:21:00

[@] Denis Merlin: Tout à fait hors sujet mais pour vous aider à aimer la sagesse poétique, et vous faire rêver longtemps je vous propose ce proverbe égyptien: « Venant de passer la nuit sur une branche, le moustique dit à l’arbre : Prends garde, je vais m’envoler ».

Ce qui a entraîné cette réponse à l'oppose de l'utilitarisme, du positivisme et du matérialisme :

@ clovis : la différence entre vous et moi, c'est que vous pensez en matérialiste qui compte et pour lequel la quantité, c'est la qualité [terme pris au sens logique et métaphysique des dix catégories d'Aristote].
Pour moi j'adhère à la pensée de saint Jean de la Croix : "Une seule pensée de l'homme, vaut mieux que tout l'univers." Sans pouvoir me comparer à un si grand saint : saint Jean-Baptiste était bien seul lorsqu'il désapprouvait le roi Hérode en regard des centaines de courtisans de ce roi. Il n'était qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais un roseau pensant. Il a témoigné, c'est tout. Je tâche de faire de même.
C'est pourquoi je pense aussi être un sincère démocrate qui use de sa liberté de pensée et d'expression et qui pense qu'une voix est une voix.