24.9.08

Maltraitances, incestes, juges français

Une dame se plaignant à juste titre de la maltraitance sexuelle de son père (viols sur enfant de six ans) veut que "l'inceste" soit inscrit dans la loi.

La Convention internationale des droits de l'enfant signé sous l'égide de l'ONU par la France le 20 décembre 1989 ne prévoit pas l'inceste.

Article 19
1. Les États parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l'enfant contre toutes formes de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d'abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d'exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu'il est sous la garde de ses parents ou de l'un d'eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.
2. Ces mesures de protection comprendront, selon qu'il conviendra, des procédures efficaces pour l'établissement de programmes sociaux visant à fournir l'appui nécessaire à l'enfant et à ceux à qui il est confié, ainsi que pour d'autres formes de prévention, et aux fins d'identification, de rapport, de renvoi, d'enquête, de traitement et de suivi pour les cas de mauvais traitements de l'enfant décrits ci-dessus, et comprendre également, selon qu'il conviendra, des procédures d'intervention judiciaire.

L'inceste étant constitué par les relations sexuelles entre proches parents n'est pas de soi un viol. Il peut être consenti entre adultes (plus de dix-huit ans). C'est un tabou institué pour éviter l'enfermement familial, mais on ne peut le réprimer en tant que tel dans la loi répressive, à moins d'en faire une infraction sans victime.

C'est pourquoi il n'y a pas lieu de s'étonner que l'inceste ne soit pas mentionné en tant que tel dan s la loi.

L'inceste ne peut être réprimé parce qu'il est un viol ou une agression sexuelle sur mineur, le fait qu'il soit perpétré par le père ou la mère étant une circonstance aggravante puisque ils sont des autorités instituées par la nature pour protéger.

Mais le viol ou l'agression sexuelle par ascendant n'est qu'une variété de la maltraitance ainsi que l'établit la Convention des droits de l'enfant.

L'abandon, le sadisme, les discours odieux sont aussi de la maltraitance.

Puisque la mode est aux confidences : j'ai été un enfant maltraité, je suis encore calomnié par ma mère qui a fourni une attestation horrible contre moi à la mère de mes enfants. Une amyotrophie du bras gauche est là pour me rappeler jusqu'à ma mort que j'ai été laissé sans soin après un déplâtrage, alors que j'avais eu le bras cassé par deux de mes frères. Une balafre de quinze ou vingt centimètre et une hernie musculaire est là pour me rappeler que j'ai fait l'objet d'une opération inutile suivie d'une absence de soin qui a entraîné cette hernie. J'ai fait l'objet d'un délaissement prouvé par cette hernie. Et cela alors que je suis fils de médecin.

Eh bien que croyez-vous qu'il arrive ? Aujourd'hui juges français, par incompétence ou mauvaise foi (ou les deux) m'ont condamné à ne plus m'occuper de mon dernier fils. Ils me privent de mes biens. Ils rajoutent donc un louche de maltraitance, car bien sûr l'enfant maltraité ne sait pas se défendre dans la vie et les lâches en profitent.

Je ne sais ce qu'est l'inceste, mais je peux vous dire ce qu'est la maltraitance dissimulée et rusée (certaines ruses de Fourniret m'ont fait penser à celles de mon père), je peux vous dire que la lâcheté et le sadisme des autorités françaises ne sont pas au-dessous du sadisme des parents.

1 commentaire:

pat a dit…

ma fille est maltraitée les intervenants sociaux et juridiques font preuve d'une mauvaise foie a toute épreuve que faire ?