Dans "Les Pensées", recueil de feuillets édité par sa soeur madame Périer après la mort de l'écrivain on lit (pp. 188-189 Editions Garnier 1968),
"Misdrach Tillim dit la même chose, et que Dieu délivrera la bonne nature de l'homme de la mauvaise.
Cette malignité se renouvelle tous les jours contre l'homme, comme il est écrit au Ps. XXXXVII "Limpie observe le juste, et cherche le à faire mourir ; mais Dieu ne l'abandonne point." Cette malignité tente le coeur de l'homme en cette vie et l'accusera en l'autre. Tout cela se trouve dans le Talmud."
Ce philosophe réaliste avait en projet une apologie de la religion catholique lorsque la mort le surprit. Il est remarquable qu'il invoque le Talmud à l'occasion du mystère de l'homme.
C'est la preuve que les chrétiens ont en estime le Talmud, depuis bien avant Vatican II.
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