22.9.08

Les restrictions mentales du commandant Prazuck

Selon France24

Le porte-parole de l'armée (c'est-à-dire de la haute hiérarchie), le commandant Prazuck avait été envoyé en mission pour démentir l'existence du rapport de l'OTAN sur le scandale de l'embuscade du 18 août 2008.

"Le journal [Globe and mail] ajoute par ailleurs que les talibans se sont vantés auprès de l'un de ses journalistes avoir fait des prisonniers parmi les soldats français durant cette embuscade.

Faux, affirme le commandant Prazuck: "Quatre corps de soldats ont été regroupés (par les talibans), mais il n'y a pas eu de prisonniers", a-t-il dit à l'AFP."

Est-ce parce que les prisonniers ont été assassinés ?

Un soldat ariégeois du hutième régiment de parachutiste témoigne :
Sur le soldat tué à l'arme blanche -dont l'histoire a fait débat la semaine dernière- il explique qu'il était avec lui, tenant "son fusil qu'il avait dû poser pour s'occuper d'un blessé". Quand 8 talibans sont arrivés droit sur eux... Vincent s'est tapi dans l'ombre. "J'ai entendu un cri. Je n'ai rien vu mais j'ai compris qu'ils venaient d'égorger l'un des nôtres. Avant, ils avaient fait une prière", se souvient-il.


Citation de le Post


D'autre part, Kevin Gil un parachutiste blessé affirme :

que
"la population locale "était au courant" de l'embuscade, car "toutes les portes" des maisons du village où il a cherché à se protéger étaient fermées."
Ces nouvelles ne sont pas mises en avant par la télévision et la radio d'Etat qui regardent ailleurs. Cela confirme que nous ne sommes pas dans un état de droit, ni dans un Etat de droit, ni dans une démocratie. Le peuple est désinformé.

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