9.12.11

L'atroce positivisme juridique de magistrats fançais

Bernard Antony, dirigeant de l'AGRIF, publie un communiqué à propos de l'ordonnance de la juge de Paris à propos de "Golgota picnic". Il en cite certains passages 

Le juge continue : « l’auteur d’une telle création n’est tenu de se conformer à aucune opinion, foi, esthétique ou morale déterminée, et il n’est limité que par les obligations imposées par la loi ».

Bien sûr, il est matériellement faux que la pièces Golgota picnic ne viole aucune règle du droit positif puisque la Constitution dit que la République "respecte toutes les croyances", elle viole la Convention européenne des droits de l'homme ainsi que d'autres règles de droit positif. 

Mais ce qui est encore plus important c'est que la magistrate abdique les droits de sa conscience au profit de la loi positive. On ne peut dire pour s'absoudre de ses fautes "C'était la loi." Un peu comme si on validait les lois raciales du IIIe Reich pour le temps de sa gouvernance...

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