La Ligue des droits de l'homme (LDH) s'appuie sur des principes vrais pour violer en pratique les droits de l'homme.
Elle fait remarquer que le délit de blasphème n'existe pas en France et que les religions peuvent être critiquées.
Ce qui est vrai. Et ce qui est bien.
Mais la LDH "oublie" de dire que la critique ne doit pas être gratuite. On doit pouvoir critiquer les religions et les athéismes courtoisement, rationnellement et loyalement. Cette critique licite exclut l'incitation à violer les droits de l'homme, cela ne peut faire l'objet d'un "dialogue". Cette critique arbitraire et déloyale, doit encore moins être financée par l'argent des gens qu'elle critique, je veux dire être financées par le Trésor public. Ce fait, que l'on constate dans l'affaire du Golgota picnic est constitutif de vol et de viol du droit à la liberté de religion et à la liberté de conscience.
La Ligue des droits de l'homme milite donc contre les droits de l'homme (article 30 de la déclaration universelle des droits de l'homme). C'est typique des organismes maçonniques, ils invoquent les droits de l'homme pour mieux les violer. Les "intégristes" et autres extrémistes antisémites comme contre-info, dont les groupes sont pénétrés par la maçonnerie, sont ses meilleurs auxiliaires. Ils lui donnent parfaitement bien la réplique dans ce grand théâtre maçonnique qu'est la vie publique en France en criant à la "christianophobie" et au "blasphème".
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