« Le jour venu [de l'audience de plaidoirie du 6 novembre 2012], nous sommes conviés par la présidente de la Chambre, mon confrère adverse et moi-même, à nous rendre dans son bureau quelques minutes avant l’audience, explique l’avocat.
Celle-ci nous annonce avec une légèreté déconcertante que le dossier avait été perdu lors d’une audience interruptive de prescription prévue le 5 septembre avant de réapparaître quelques jours avant l’audience de plaidoirie. »
« Légèreté déconcertante » : l'avocat parle d'une magistrate. J'ai moi-même été victime de plusieurs "pertes" de dossiers par les juridictions françaises.
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