Du « mur des cons », au "mur de la paix"

En France des magistrats s'amusent à stigmatiser des personnes qui ne leur reviennent pas. C'est le mur des cons du Syndicat de la magistrature. Fichent-ils, plus discrètement, leurs ennemis (ou ceux que, dans leur paranoïa, ils considèrent comme tels) ? Il est possible de se le demander. Si c'est le cas, leurs « ennemis » ont du souci à se faire car ils devront subir des décisions spéciales.

Ces femmes délinquantes (automne 2012), discriminant selon la foi et bafouant la liberté de manifester et la liberté religieuse, s'en prenant physiquement aux enfants n'ont fait l'objet d'aucune garde à vue, d'aucune poursuite. Les médias les ont présentées comme des victimes.

En France aussi, près du Mur de la Paix, des mères militent contre la procréation médicalement assistée (PMA) donc pour la justice, ce sont les "Mères veilleuses". La justice est mieux défendue par ces mères, considérées par les magistrats comme "hors la loi", que par eux.