Le principe de la République est "gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple". Selon la plupart des hommes politiques, si le peuple n'est pas "républicain", il n'est nécessairement plus le peuple. La République serait chargée de l'application des théories morales relativistes en dehors desquelles, il n'y a pas de salut.
Le paradoxe, c'est que le peuple ne peut, même par relativisme, se référer à la doctrine catholique, sinon il ne serait plus le peuple républicain.
C'est contradictoire et contraires aux droits universels de l'homme, voire à la Constitution. La liberté religieuse est aussi collective, donc nationale et populaire.
Le paradoxe, c'est que le peuple ne peut, même par relativisme, se référer à la doctrine catholique, sinon il ne serait plus le peuple républicain.
C'est contradictoire et contraires aux droits universels de l'homme, voire à la Constitution. La liberté religieuse est aussi collective, donc nationale et populaire.
C'est ce que n'ont pas encore compris la plupart de ceux qui excluent les identitaires (au sens large) de la République. Il ne faut pas se laisser confisquer ainsi la notion de "peuple" par ceux qui sont ses ennemis.
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