23.4.13

La procréation médicalement assistée, source de coût direct et indirect pour l'assurance maladie

Voici la conclusion d'un article de génééthique sur la procréation médicalement assistée (PMA) :


« Tous ces chiffres amènent à interroger la responsabilité des médecins et des centres de PMA qui proposent hâtivement une PMA aux couples, alors que 90% des couples ont un enfant naturellement au bout de 2 ans. Sommé de répondre au désir de descendance, le corps médical doit interroger les notions de "droit à l'enfant", "droit de l'enfant" et "désir d'enfant". Des psychologues tels Diane Drory ont étudié les dérives du "droit à l'enfant" qui tend à faire de ce dernier un objet d'économie marchande. Le dossier rappelle aussi que les traitements de PMA ont des conséquences négatives importantes sur certains couples dont leur séparation après la naissance de l'enfant tant désiré et évoque les dangers pour la santé de la femme, les difficultés psychologiques occasionnés chez les membres du couple et  celles qui peuvent apparaître chez les enfants qui ont été conçus de telle ou telle façon, ou qui ne connaissent pas leur origine biologique. »

Non seulement la santé de la femme est atteinte, mais aussi celle du couple dans son ensemble et de l'enfant. Voir par exemple la souffrance d'une femme (30 ans à l'époque) née de PMA. Imaginons à cette occasion les souffrances du "père" qui ne l'est pas et de la mère... Et voici pour le seul risque vasculaire.

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